Voilà ce qu’on peut se souhaiter de meilleur pour cette nouvelle année déjà bien entamée, simplicité et tranquillité (on a une bonne marge de progression).
En tous cas c’est ce que je me souhaite à moi personnellement.
La vie n’est pas toujours douce comme les pétales d’une rose alors profitons des petits bonheurs même fugaces qui se présentent.
A ce propos vous connaissez sans doute mon goût pour tout ce qui vient d’Asie.
Comment ça non ??
Après une overdose d’infos dimanche j’avais envie de sortir pour retrouver mes semblables, dirons-nous, et me changer un peu les idées.
C’était sans compter sur notre indéboulonnable maire de Marseille qui avait pris l’initiative de coupler le rassemblement d’hommage aux victimes avec … l’inauguration de la foire aux santons. « Parce que les santons c’est la fraternité « .(dans le texte).
Ça ferait presque rigoler si on n’était pas aussi tristes, non ?
Permettez-moi de saluer l’à propos et la hauteur de vue de Jean-Claude qui me semble être au top pour gérer les situations de crise.
En attendant j’ai préféré bouquiner, grand bien m’en a pris.
Au fil de ses albums et de ses bandes-dessinées, José Parrondo a développé un univers graphique singulier et immédiatement identifiable.
Son trait dépouillé, tout en rondeurs, ses illustrations minimalistes évoquent irrésistiblement le monde de l’enfance.
J’aime pas la poésie. Holala ça y est je l’ai dit ! Je sais, c’est horrible, c’est le Mal, mais c’est ainsi. C’est quand même difficile de lâcher ça sur un blog de libraire jeunesse, faut pas croire… Il en faut du courage.
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