
Un imagier c’est mignonnet mais parfois un peu niais, c’est pas vrai ?
Bon d’accord pas toujours.
Celui-ci en tous cas échappe à tout risque de mièvrerie.
On peut même dire qu’il est proprement … décoiffant.
Un imagier c’est mignonnet mais parfois un peu niais, c’est pas vrai ?
Bon d’accord pas toujours.
Celui-ci en tous cas échappe à tout risque de mièvrerie.
On peut même dire qu’il est proprement … décoiffant.
Les plus âgés d’entre vous (moi je n’ai que 23 ans) se rappelleront peut-être les grandes cartes et les planches pédagogiques qui ont longtemps décoré les salles de classe.
En trouve-t-on encore dans nos écoles, je ne suis pas sûre, mais puisque vous êtes sages et que vous avez bien travaillé toute la semaine, je vous propose une petite plongée dans un des plus jolis imagiers de cette rentrée, l’imagier Deyrolle.
En voilà une petite sortie qui fait du bien en ce mois de janvier tout pourri tout gris !
Tout ça grâce à un hippopotame, celui de Janik Coat qui nous avait déjà ravi en 2010 dans un méga format …