Voilà ce qu’on peut se souhaiter de meilleur pour cette nouvelle année déjà bien entamée, simplicité et tranquillité (on a une bonne marge de progression).
En tous cas c’est ce que je me souhaite à moi personnellement.
La vie n’est pas toujours douce comme les pétales d’une rose alors profitons des petits bonheurs même fugaces qui se présentent.
A ce propos vous connaissez sans doute mon goût pour tout ce qui vient d’Asie.
Comment ça non ??
Cette putain d’année commence déjà bien mal, mais l’idée qu’il va falloir pourtant « s’y habituer » me paraît assez intolérable.
S’habituer c’est finir par ne plus ressentir d’émotion, s’anesthésier et peut-être se laisser gagner par une torpeur anxiogène et morbide qui nous couperait de toute raison et de tout esprit critique.
Comme je n’ai pas l’intention de m’habituer à l’horreur, je n’ai pas non plus l’intention de m’habituer aux jolies choses et de les tenir pour acquises.
C’est le printemps, alors continuons donc à nous émerveiller en commençant par cette bande-dessinée…
J’ai un vrai faible pour tout ce qui vient d’Asie, alors je guette avec gourmandise le travail des éditions HongFeï.
Je suis rarement déçue: les albums sont le plus souvent raffinés, soignés, intrigants, on s’évade, on apprend des choses… un vrai goût de littérature, quoi.
Le dernier album ne déroge pas à la règle et comme prévu j’ai voyagé, j’ai souri, j’ai réfléchi et j’ai appris des trucs.
Vous connaissiez vous, les « chengyu » ?