Je me rappelle quand j’étais ado (hier quoi), je passais le plus clair de mon temps à dévorer des romans dramatiques.
Des trucs super tristes, des récits torturés avec des fins horribles que je lisais en apnée et qui me faisaient verser toutes les larmes de mon corps.
A moi les histoires de viol, de handicap, de déchirement familial, de suicide, de maladie où on meurt à la fin et d’amour toujours mais sans retour. Oh oui vas-y Johnny fais-moi mal …. (EH OH ON SE CALME, OK ?)
Puis le temps a passé (si peu, sur moi), et la vie m’a appris que tout ça arrivait, mais pour de vrai.
Youpi donc.
Plus besoin de les lire, il suffit juste de vieillir ! Trop bien, non ? (<----- humour noir comme Gigi elle aime).
Mais parfois je remets mon écharpe orange, mes Converse bleues, je prends un gros bouquin avec des gens qui ont plein de problèmes dedans et j'ai de nouveau quinze ans.
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