Oui, je conçois que le titre n’est pas des plus engageant en cette période sombre, mais l’humour noir me rattrape souvent à l’insu de mon plein gré, et ce roman, cette auteure ont été pour moi la découverte littéraire de ce début d’année.
Vous savez cette année 2020 de merde qu’on s’est souhaitée bien bonne entre les huîtres et la bûche glacée.
Archives de mars, 2020
Je comptais mettre un pack de Corona pour illustrer cet article, et puis je me suis dit que c’était encore un chouïa prématuré. Et un peu nul aussi.
Tout ça pour une chronique sur le fil, où je n’ai pas grand chose à dire, je vous préviens d’avance, mais où comme beaucoup je m’interroge sur les comportements humains.
Aller faire le plein de papier Q ? Vraiment ?
Pour ma part, le premier truc qui m’est venu à l’esprit, dans un sursaut bien compréhensible de survie, c’est d’aller piller les rayons de chocolat noir et de vin blanc.
Mais j’ai su me tenir, je vous rassure.
Jusqu’à quand ?
Il est vrai que cette crise provoque de bien étranges comportements, pas plus loin que chez moi d’ailleurs.
Oui, nous vous rappelons que les boîtes échangistes sont momentanément fermées durant la période de confinement.
(Merci Improbables librairies, Improbables bibliothèques pour le sourire).
Me voilà donc de retour sur le blog.
Certes quelque peu délaissé, ignoré de tous maintenant, mais peu m’en chaut, voilà une nouvelle page blanche qu’il me tarde d’arpenter en ces temps de confinement.
Force est de constater que par un biais pervers de mon esprit malade, le bonheur m’ennuie et le malheur m’inspire.
Oui je sais c’est mal.