Il serait grand temps de sortir de notre ethnocentrisme occidental étriqué et frileux pour nous ouvrir un peu aux autres.
Les blancs, les noirs, les jaunes, les peaux-rouges, les basanés, les métisses et toutes les couleurs de la terre.
(On dirait un peu du Enrico Macias qui aurait épousé Mère Teresa, non ?)
Qu’est-ce qu’elle en dit la Nadine ?
Et vous, vous en pensez quoi ?
Archives de octobre, 2015
Figurez-vous que j’ai plongé dans cet album sans noter aucunement qui en était l’auteur, l’illustrateur, ni quoi, ni qu’est-ce, ni dieu ni maître.
Et j’ai carrément adoré.
Et soudain de quoi m’aperçus-je ??
Que c’était illustré par Thierry Dedieu !!
Moi qui m’efforce de ne plus ouvrir un seul bouquin de Dedieu au risque de tomber en pâmoison, de le chroniquer sur ce blog et de passer encore pour une fayote ou une obsessionnelle compulsive…
Ah non mais quelle poisse, je vous jure !
(Ne jurez pas Marie-Thérèse)
Alors sachez que c’est bien malgré moi, à l’insu de mon plein gré et à mon corps défendant que je m’apprête donc à vous parler du dernier album de Dedieu…
Vu le nombre impressionnant de personnes (dans ma tête) qui m’ont demandé des nouvelles de Maxime, notre nouvelle recrue, j’ai décidé toutes les semaines de faire un petit point sur la bestiau, sobrement intitulé « Comment y va le petit ? »
Promis, j’essaierais de m’y tenir.
Mais sachez que je mens beaucoup.
Alors donc …
En écoutant la version de Sinatra, of course, je vous propose de vous emmener sur la lune, rien que ça.
Une petite balade poétique pour nous changer un peu les idées, et c’est Rémi Courgeon qui régale.
Je n’ai pas de compte Facebook donc pas d’amis virtuels dont je ne saurais que faire.
En revanche, j’ai des amis imaginaires depuis l’âge de quatre ans à peu près, depuis que je les ai découverts planqués dans le placard de la salle de bains dans la maison où j’habitais alors.
C’est une communauté de gnomes dont le chef s’appelle Raoul et c’était lui mon ami imaginaire préféré, le plus marrant, le plus débrouillard.
C’est lui qui a recueilli tous me secrets et toutes mes peines.
Les autres étaient sympas aussi remarquez, mais pas le même style quoi.
Je ne suis pas folle vous savez.
Au fait, savez-vous qu’un nouveau compagnon a rejoint la librairie ?
Il est joyeux, fidèle, un peu fou-fou, il a plein de poils et nous obéit au doigt et à l’œil !
Meuh non ce n’est pas un chien voyons, nous n’aurions jamais le temps de nous occuper d’un animal à la librairie (ne soyez pas stupides).
C’est Maxime qui avait déjà travaillé ici il y a trois ans, lorsque nous étions jeunes et fraîches, et qui revient nous prêter main forte en cette fin d’année
Je suis pétrie de contradictions et c’est franchement pénible.
Par exemple, je rêve de devenir bio et je mange du Nutella.
Ou encore, j’aspire au silence et je bosse avec Gigi.
Parce que niveau silence avec Gigi faudra repasser.
C’est du non-stop.
Parfois je l’écoute d’une oreille distraite en lançant quelques hmm hmm toutes les dix minutes, tandis qu’en mon for intérieur je m’évade au calme, vers la petite maison dans la prairie par exemple.
Gigi finit toujours par s’en apercevoir.
– Non mais tu m’écoutes ou quoi ?!
– Hein ?… mais attends, bien sûr Gigi que je t’écoute.Tu en étais à la commande Albin Michel et au repas avec ta belle-mère.
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Et si je faisais comme Falgu ?
« – Le plus ennuyeux avec les histoires vraies, c’est que personne n’y croit jamais.
Surtout les gosses.
Rien que pour ça, je m’étais promis de ne jamais raconter celle de la Tempête.
Mais celui qui ouvrira ce livre sera, je l’espère, différent des autres. »
Je ne sais pas vous mais dès qu’un chapeau de cow-boy ou une plume d’indien s’invite dans un roman, j’ai une fâcheuse tendance à fuir. Je n’ai jamais aimé les western, ceci expliquant peut-être cela! Mais comme il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis je m’en vais vous parler du dernier roman d’Audren : Wild girl chez Albin Michel.
Lire la suite...J’ai une phobie des insectes et de toutes les petites bestioles apparentées. Je déteste les pattes des insectes et le bruit des insectes. Même les coccinelles, les trucs mignons comme ça, c’est beurk pour moi.
Et même les papillons, croyez-le ou non -truc de dingue- je trouve ça dégueu parce que ça a un corps de chenille en fait. (Si)
Alors les cafards m’en parlez pas.
En revanche, les libellules je pourrais presque me laisser attendrir.
Ce qui est très injuste, vous en conviendrez et témoigne plutôt d’un délit patenté de sale gueule dont je devrais rougir.
Ah c’est bien beau les grands principes humanistes, hein ?!
Madame se targue d’avoir des vraies valeurs et au premier obstacle rencontré, pof, elle tombe dans le panneau des clichés et de la facilité !
Parce que si ça se trouve, le cafard, dans le fond c’est un bon gars, toujours prêt à rendre service et la libellule c’est peut-être qu’une pauvre fille qui compte ses like sur Facebook et n’a rien dans la tronche, voyez ?
C’est intéressant comme débat, non ?