Tout le monde le sait, notre pouvoir d’achat ne cesse de s’éroder.
Gigi la pauvre enfant a dû diminuer drastiquement sa consommation de sacs à main : de dix par mois la voilà contrainte à n’en acheter que quatre ! Ce qui la met de fort mauvaise humeur (déjà que bon).
Moi même j’ai dû renoncer à m’acheter une magnifique paire de bottines qui me faisait de l’œil, laissant en suspens cette question existentielle qui me hantera longtemps : je prends les marrons super cools, ou les noires trop classe ??
Des soucis, que des soucis.
Et pendant ce temps-là, ces salauds de riches s’en mettent plein les poches.
Archives de septembre, 2014
Où vit Nino ? On ne sait pas trop.
Dans de beaux paysages, au coeur de belles forêts. Au Canada peut-être ?
On ne connaît pas vraiment Nino.
Tout ce qu’on sait c’est que Nino a un chien.
Un chien qu’il n’avait pas.
Et dire que certains tiennent encore la littérature jeunesse pour un sous-genre, un truc marketing pour faire plaisir aux parents …
C’est sans doute qu’ils ne doivent pas fréquenter les bonnes librairies et qu’ils n’ont jamais lu une ligne d’un roman de Jean-François Chabas.
Son dernier titre en l’occurrence ne prête pas à discussion : c’est bien à de la grande littérature que nous avons affaire.
Mais alors ?? Où c’est qu’il était le chien-chien, hein ?
Il était passé où le chien-chien pourri à sa mémère ??
Et ben il est rentré à l’école comme tout le monde.
C’est qu’il en a marre Chien Pourri : bien assez de se coltiner un physique ingrat au possible, il doit en plus composer avec son Q.I de footballeur. Franchement, trop c’est trop !
Mais Chien Pourri n’a pas perdu espoir, car il sait bien lui, que « la routourne peut tourner » (citation de Ribéry dans le texte) (je vous jure).
Alors zou, direction les bancs de l’école.
Mes loutres invisibles, chers lecteurs silencieux, (ça me fait du bien, j’ai l’impression d’être moins seule), sur la lancée du dernier article je sens que je vais encore vous parler d’un bouquin des éditions Thierry Magnier, parce qu’elles le valent bien d’une part, et surtout parce que c’est le premier carton de nouveautés que j’ai ouvert, en fait. Et ça c’est un argument-à-la-con comme je les aime.
C’est vrai aussi que j’ai vu le nom d’Annelise Heurtier sur la couverture.