Pour reprendre le fil de ce blog injustement délaissé, j’ai pensé qu’un article sur un roman magnifique et bouleversant serait idéal.
Un roman qui nous habite longtemps une fois la dernière page tournée.
Un roman qui nous laisse le cœur en vrac.
Un roman d’une infinie poésie sur le handicap, la différence, la vie, l’amour.
Une vraie pépite en somme.
« Heureux soient les fêlés car ils laisseront passer la lumière ».
– Michel Audiard –
A seize ans Zelda est en fauteuil roulant depuis qu’une voiture l’a renversée quelques années plus tôt. Elle vit avec sa sœur aînée, Julie qui n’a qu’un but : la venger et retrouver le chauffard.
Le père est inconnu au bataillon , la mère a mis fin à ses jours quand elles étaient enfants et Mémène, la grand-mère chérie, s’est éteinte en leur laissant la maison en héritage.
Voilà, voilà … vous allez me dire c’est pas gai gai tout ça, et bien détrompez-vous.