Dans un royaume maintenant oublié, une Reine donna naissance à deux enfants.
Un petit garçon qui fut baptisé Alaric et sa petite sœur jumelle qui fut nommée Hilde.
Durant trois ans, ces deux-là grandirent ensemble, élevés pareillement, promis à un avenir radieux.
Mais le malheur bientôt s’abattit sur le royaume…
Voici un conte des frères Grimm, moins connu peut être que tant d’autres dont on a lu de multiples versions.
Ce très court récit intrigant à souhait, clôturait le recueil des « Contes de l’enfance et du foyer ».
On le découvre ou redécouvre ici avec bonheur en même temps que l’on entre dans l’univers singulier d’un illustrateur de grand talent.
Attention, tenez-vous bien amis lecteurs, je vais le placer : voici pour cette nouvelle chronique un conte étiologique.
YES ! C’est fait ! Au cas où vous ne seriez pas au courant « étiologique » c’est THE MOT à placer quand on s’occupe de littérature jeunesse.
Rien de mieux pour vous faire adouber par vos pairs.
Là tout de suite j’ai un peu l’impression de jouer dans la cour des grands, d’être le Karl Lagerfeld de la fashion week.
Ceci étant, venons donc à l’essentiel
Ce dernier roman d’Anne-Laure Bondoux je l’ai lu il y a assez longtemps déjà, bien avant sa parution et depuis je me dis que ce serait bien que j’écrive enfin quelque chose dessus et puis rien ne vient.
Un peu comme une histoire d’amour qui nous laisserait les idées confuses et le cœur en vrac, avec l’envie d’en parler à tout le monde ou peut-être de tout garder pour soi.