Chers lecteurs, chers collègues, chers amis et chers amants, quelle joie de vous retrouver.
Avez-vous goûté comme moi ces longues semaines d’absence, de silence et, oserais-je dire, de recueillement, qui nous permettent en cet instant de nous réunir plus intensément autour de la littérature jeunesse ?
Fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis.
Du manque naît l’envie.
« Qu’on me donne l’envie. L’envie d’avoir envie » (Johnny Hallyday).
(Coucou Agnès, ça roule ?!)
Comme le veut la tradition, durant cet été je n’ai rien lu en jeunesse.
En revanche, tenez-vous bien, j’ai appris à faire des mojitos et à traire des chèvres.
Comment ça on en a rien à foutre ?!
Va falloir me parler sur un autre ton sinon je retourne illico à la montagne.
Avec Marthe et Emile.
Etre obligé de faire son lit, de ranger ses pantoufles et de se débarbouiller le groin… quel ennui pour des petits cochons facétieux, épris de grands espaces… Alors adieu maman, chacun chez soi et la vraie vie peut commencer.
Mais quand les petits cochons rêvent d’évasion, le grand méchant loup lui, rêve de saucissons…