Chers lecteurs fidèles, je préfère vous le dire tout de go : en ce moment je suis atteinte de flemmingite aiguë à tendance procrastinatrice à l’idée de lire des romans.
Par exemple du côté des adultes, je n’ai lu que deux nouveautés sur les 567 parues lors de cette rentrée littéraire. C’est peu.Très peu.
Et pourtant je sais que vous brûlez déjà de connaître les titres des heureux élus, ce qui me permettra en outre de meubler cette introduction.
—–> La vraie vie. D’Adeline Dieudonné. L’Iconoclaste éditions
—–> Leurs enfants après eux. Nicolas Mathieu. Actes Sud éditions.
C’était drôlement bien et je vous les recommande vivement. Mais permettez-moi de revenir à mes moutons : les livres jeunesse (Je peux pas tout faire).
J’ai lu une BD extra figurez-vous …
Archives de septembre, 2018
En littérature jeunesse, comme en littérature tout court, les sujets d’actualités irriguent l’imaginaire des auteurs et font leur entrée dans les thématiques d’albums ou de romans.
Pas mal de titres sont parus (ou ont paru, pour les puristes) sur le sujet des réfugiés, tous ne m’ont pas convaincue, avec cet arrière-goût bizarre d’un truc un peu forcé, d’un passage obligé pour coller à l’actualité, souvent au détriment de l’histoire et/ou du style.
Non je ne citerai aucun titre, car je suis depuis mon plus jeune âge d’une nature très lâche.
En ce qui concerne ce petit roman au Rouergue, pas de doute permis, c’est réussi.