Certes, Colas Gutman est l’auteur prolixe de la série des « Chien Pourri », (d’ailleurs ça tombe bien parce que « prolixe » ça m’a toujours fait penser à une marque de croquettes pour chiens) cet anti-héros un peu concon qui fait le bonheur des jeunes lecteurs et des libraires fainéants, certains de faire mouche à tous les coups en dégainant cet incontournable de la rigolade.
Mais il n’a pas fait que ça le bougre, loin de là, et si j’étais vous je me garderais bien de réduire quiconque à ses signes extérieurs de succès.
Ne suis-je donc pour vous que cette libraire-blogueuse exceptionnelle, lue aux quatre coins de France, avec selon Google Analytics des pics de fréquentation autour du 6ème arrondissement de Marseille (c’est Gigi), et qui fait péter la baraque du côté du 8ème ? (ça c’est ma mère).
Je suis bien autre chose fort heureusement (n’hésitez pas à m’appeler sur mon 06 si vous voulez en savoir plus) et Colas Gutman, pour en revenir à lui (car je m’égare assez facilement semble-t-il) a écrit aussi d’autres trucs.
Oui mais quoi ?
Archives de juin, 2017
Pour reprendre le fil de ce blog injustement délaissé, j’ai pensé qu’un article sur un roman magnifique et bouleversant serait idéal.
Un roman qui nous habite longtemps une fois la dernière page tournée.
Un roman qui nous laisse le cœur en vrac.
Un roman d’une infinie poésie sur le handicap, la différence, la vie, l’amour.
Une vraie pépite en somme.