C’est un truc qui m’arrive assez rarement, mais ce roman là je l’ai lu deux fois à quelques semaines d’intervalle.
Je ne sais pas trop pourquoi j’ai eu envie d’y replonger, un peu par accident, en relisant les premières pages et puis je ne l’ai plus lâché, de nouveau jusqu’à la fin.
C’est l’histoire de Pia.
Archives de juin, 2015
Oui, je dis ouf ! Je dis merci ! Je dis vive la vie !
Car Gigi a une extinction de voix !! Alleluia.
Vous pouvez pas imaginer comme ça fait du bien !
Pour moi c’est déjà un peu les vacances vous savez, un petit coin de paradis calme et sans bruit…
Avant qu’elle reprenne du poil de la bête (la Gigi est coriace) j’en profite pour vous parler d’un album que j’ai beaucoup aimé.
C’est l’histoire d’un gland.
De vieilles légendes indiennes racontent qu’un énorme serpent mangeur d’hommes vit dans les profondeurs du lac Okanagan, à l’ouest du Canada.
Si le jeune Lachlan en doute parfois, sa mère indienne de sang, semble y croire dur comme fer…
…. C’était la semaine dernière et c’était drôlement bien !
Avec quatorze enfants, de 4 à 8 ans, qui se sont exercés à la technique de l’aquarelle sous les consignes bienveillantes d’une Cécile tout sourires !
L’album qui a servi de support était « P’tit Biscuit » aux éditions Didier Jeunesse.
Quelques photos pour garder en mémoire ce joli moment !
Pour changer de tête à moindre frais, échapper à mes amis sans vexer personne ou encore passer incognito au milieu des fans qui m’attendent à la sortie de la librairie, je porte très souvent un masque.
Si vous trouvez cette idée fort bonne, n’hésitez pas à la partager sur les réseaux sociaux ou mieux encore, achetez le livre de Laurent Moreau.
Quand j’étais enfant je fréquentais la petite bibliothèque OCB de mon quartier, adossée à l’église.
La vieille dame qui s’en occupait mettait une éternité à noter chaque livre emprunté sur une petite fiche bristol en couleur.
Les étagères et les tables de l’unique pièce étaient oranges, pur jus années 70.
Une autre vieille dame venait nous lire des albums dans des locaux attenants, ceux où le curé entreposait ses cierges !
Cette dame c’était Nicole Ciravegna et je me souviens qu’elle parlait très fort, en exagérant les intonations.
Un jour elle nous a lu « John Browne, Rose et le Chat de minuit »
Une journée avec Mousse, c’est une de celles que l’on aimerait vivre plus souvent: un réveil en douceur dans une petite maison au bord de la mer, la langueur des draps tièdes, les rayon du soleil, la fraîcheur du grand air et quelques gorgées de café en écoutant la radio.
C’est le même rituel chaque matin pour Mousse.
Et quand il est sur le point de se rendormir, la mer monte ….