Les beaux jours reviennent (presque) et comme toutes les filles un peu sensées qui réfléchissent aux choses essentielles de la vie, je trouve que j’ai vraiment rien à me mettre. Dans ma penderie tout est noir, vieux et moche. Dans celle de Morgenstern, tout était vieux, moche mais avec des couleurs improbables : jaune canari, vert caca d’oie ou orange moutarde. Voire les trois à la fois.
Lire la suite...Archives de mars, 2013
Je ne suis pas entièrement fan de la couverture que je trouve « bizarre » (ça c’est de l’argument), mais je suis fan de Katsumi Komagata et fan évidemment des éditions des Grandes Personnes qui m’enchantent à chaque nouvelle parution. Du coup cette couverture à force de la regarder je la trouve toujours aussi bizarre mais dans le bon sens; elle me fait de l’œil, elle m’attire…
Lire la suite...Aimer c’est bien, vouloir posséder c’est mal. Alors gare à toi lecteur, ce que la vie t’a donné, amour ou amitié, en un clin d’œil elle peut t’en déposséder.
Rholala… ça me fait complètement flipper ce que je raconte, tiens… Heureusement l’album de Jeffers est beaucoup plus drôle !
« Tous les êtres humains naissent libres et égaux en droits ». Enfin à quelque chose près quoi; on va pas chipoter non plus. Si toi aussi lecteur tu t’interroges sur l’avenir judiciaire de Christine Lagarde alias Blanche Colombe, si la seule possibilité d’un compte en Suisse fait vaciller tes espoirs de changement, n’hésite pas à ouvrir ce livre pour te réconcilier avec la justice de ton pays.
Lire la suite...Enfant j’ai dévoré la Comtesse de Ségur (je lisais aussi des trucs un peu plus rock’n roll, je vous rassure). N’empêche que Camille et Madeleine, les petites filles modèles, forçaient mon admiration par leur sagesse. (Pourtant c’était vraiment deux quiches quand on y pense). Mais celle qui me fascinait le plus c’était Sophie, capable d’inventer dix conneries à la minute et de se repentir auprès de Mère en jurant qu’elle serait sage désormais.
Lire la suite...En Afghanistan quand un couple ne met au monde que des filles, c’est l’honneur même de la famille qui est en jeu. Ne pas avoir de descendant mâle c’est affronter l’opprobre sociale et risquer de sombrer dans la misère puisque aucun autre homme n’est en mesure de ramener de l’argent. Pour ne pas vivre dans ce déshonneur beaucoup de familles afghanes choisissent une de leurs plus jeunes filles et lui coupent les cheveux, changent son prénom, la travestissent en garçon et l’élèvent comme tel. On les appelle des « Bacha Posh », littéralement « celles qui s’habillent en homme ».
Lire la suite...Et je dirais même, Dieu m’est témoin, habemus « Papaye et Mamangue » réunis dans un seul et même volume aux éditions Chandeigne. Et en plus y vont faire des bébés ces coquins…
Lire la suite...Aujourd’hui c’est la journée de la machine à laver ! Ah ben non, que je suis bête, aujourd’hui c’est la journée de la femme. Je me suis trompée. (ah ah ah).
Alors ouvrez bien vos oreilles les poulettes, c’est les garçons qui vont en prendre pour leur grade. Parce que nous on a décidé de s’envoyer des fleurs….
Lire la suite...Pour tous ceux qui pensent que je n’ouvre pas un livre, et bien oui, croyez-moi je viens d’en finir un, c’est un album ravissant des éditions Courtes et Longues.
Lire la suite...Ils sont quatre adolescents, deux garçons et deux filles qui fréquentent le même lycée, se croisent sans vraiment se connaître. En moins d’une heure chacun va voir son destin prendre une nouvelle direction.
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